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mercredi 17 octobre 2012

Les carmes et carmélites de Goma ont fêté Sainte Thérèse.

Soeur Clarisse Epepe. Cmt/Goma

« Il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ». Ces paroles du psalmiste ont été mises en pratique ce lundi 15 octobre 2012 à l’occasion de la solennité de Sainte Thérèse de Jésus. En deux temps, les trois communautés carmélitaines de Goma/Katindo se sont retrouvées. Sœur Clarisse Epepe nous retrace ici les temps forts de ces rencontres fraternelles.   



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Pour fêter la Réformatrice du Carmel et la première femme à être proclamée Docteur de l’Eglise Catholique Romaine, les carmes déchaux et les carmélites missionnaires thérésiennesde Goma/Katindo, se sont retrouvés en deux temps.


La première : Une eucharistie présidée par le Père Jean XXIII, prieur de la communauté « Saint Joseph » des carmes de Goma, a été dite le lundi 15 octobre tôt le matin, à 6h15 avec la forte participation de deux communautés : Marie Mère de l’Eglise et Saint Kizito. Les chants de cette messe solennelle étaient exécutés par les postulantes.  

Dans sa brève homélie, le Père Jean a rappelé la biographie de la Santa Madre Teresa. Notons que, Sainte Thérèse, en plus de son talent de réformer les couvents, elle s’est imposée comme une maîtresse de la spiritualité chrétienne en nous laissant des ouvrages capables de mettre nos cœurs en contact avec Dieu par  la prière et nos pas sur le Chemin de la Perfection. 

Le Père Jean XXIII s’est appuyé sur le pape Benoit XVI pour conclure son homélie en ces termes : « Que l’exemple de cette sainte, profondément contemplative et efficacement active, nous pousse nous aussi à consacrer chaque jour le juste temps à la prière, à cette ouverture vers Dieu, à ce chemin pour chercher Dieu, pour le voir, pour trouver son amitié et trouver ainsi la vraie vie. C’est pourquoi, le temps de la prière n’est pas du temps perdu, c’est un temps pendant lequel s’ouvre la voie de la vie, s’ouvre la voie pour apprendre de Dieu un amour ardent pour Lui, pour son Eglise, c’est une charité concrète pour nos frères"

Le deuxième temps était celui du repas fraternel prévu à 13 heures avec la participation des trois communautés : Saint Joseph, Marie Mère de l’Eglise et Saint Kizito. 







Chants, quelques pas de danses, partage du gâteau de la fête ont ponctués ce temps de retrouvailles en l’honneur de la réformatrice du Carmel dont l'anniversaire du cinquième centenaire de la naissance sera célébré en 2015.

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